Politique de confidentialité

 

"Aucune donnée personnelle, soumise à la Loi n°78-17 du 6 Janvier 1978 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, et au RGPD, n’est collectée lors de la consultation de ce site."

 

 

L'équipe professionnelle

Philippe Osmalin

Cofondateur du Théâtre de la Fugue dont il est le responsable artistique ; metteur en scène, comédien,  formateur-pédagogue, chargé de cours à l'université.

Il s’est cons­truit au croi­se­ment des routes et guette tout ce qui peut faire bouger les lignes et favoriser les pas de côté. Dans son travail de réflexion, de terrain et de création il s'attache à lancer des passerelles entre l'artistique, l'éducatif et le social. 

Sylvie Harland

Cofondatrice du Théâtre de la Fugue, comédienne, conteuse, pédagogue.

Elle porte les his­toi­res en elles depuis tou­jours. Les lire, les enten­dre, les raconter, les jouer, c'est sa passion...  Elle s’est formée parallèlement à l’art dramatique et à celui du conte et a investi les planches à Paris aussi bien qu'au festival d'Avignon off.

François Prioli

Comédien, assistant à la mise en scène.      Membre de  la Cie depuis 2014.

Tout d'abord initié par les ate­liers uni­ver­si­tai­res du Théâtre de La Fugue, il est diplômé  de l’école Acting International. Depuis, il participe à différents projets qu'ils soient théâtraux, audiovisuels ou encore immersifs. 

Julia Alimasi

Comédienne, conteuse, pédagogue.

Arrivée en France depuis l'Italie en 2011, elle suit les orniè­res du théâ­tre inter­cultu­rel en tant que comé­dienne, conteuse, chan­teuse et péda­go­gue. Son goût va vers ce monde métissé et vibrant de sono­ri­tés, où les arts sont parole plu­rielle.

Un peuple les yeux ouverts 

En partenariat avec ATD Quart monde

Un spec­ta­cle engagé pour dire non à l’exclu­sion !

Un peuple les yeux ouverts retrace la lutte contre l’exclu­sion à partir de Louis-Pierre Dufourny, l’un des pre­miers sous la Révolution Française à avoir pris la défense des droits des plus pau­vres, et de Joseph Wresinski, le fon­da­teur d’ATD Quart Monde. 

Autour de ces deux figu­res gra­vi­tent des révo­lu­tion­nai­res et des gens du peuple, Victor Hugo cla­mant son indi­gna­tion en 1849, les habi­tants des bidon­vil­les en mai 68, les enfants d’une biblio­thè­que de rue, les participants des Universités Populaires Quart Monde. Tout un peuple qui s’évertue à dire « non ! » à l’exclu­sion.

Dramaturgie et mise en scène :  Philippe Osmalin  

Collaboration his­to­ri­que :  Michèle Grenot  

Avec 50 comé­diens de milieux différents : adultes issus de la précarité (ATD Quart Monde),  enfants de banlieue (Villiers-le-Bel), jeunes comédiens professionnels

A la MPAA Saint-Germain/Paris les 13, 14 et 15 octobre 2017

Une for­mi­da­ble énergie et une grande sin­cé­rité cir­cu­lent sur le pla­teau comme une urgence à dire : "Stop Pauvreté ! Pour que vive en toute dignité l’Humanité !" Frédérique Arbouet, revue Lien social.

Un peuple les yeux ouverts 

En partenariat avec ATD Quart monde

Un spec­ta­cle engagé pour dire non à l’exclu­sion !

Un peuple les yeux ouverts retrace la lutte contre l’exclu­sion à partir de Louis-Pierre Dufourny, l’un des pre­miers sous la Révolution Française à avoir pris la défense des droits des plus pau­vres, et de Joseph Wresinski, le fon­da­teur d’ATD Quart Monde. 

Autour de ces deux figu­res gra­vi­tent des révo­lu­tion­nai­res et des gens du peuple, Victor Hugo cla­mant son indi­gna­tion en 1849, les habi­tants des bidon­vil­les en mai 68, les enfants d’une biblio­thè­que de rue, les participants des Universités Populaires Quart Monde. Tout un peuple qui s’évertue à dire « non ! » à l’exclu­sion.

Dramaturgie et mise en scène :  Philippe Osmalin  

Collaboration his­to­ri­que :  Michèle Grenot  

Avec 50 comé­diens de milieux différents : adultes issus de la précarité (ATD Quart Monde),  enfants de banlieue (Villiers-le-Bel), jeunes comédiens professionnels

A la MPAA Saint-Germain/Paris les 13, 14 et 15 octobre 2017

Une for­mi­da­ble énergie et une grande sin­cé­rité cir­cu­lent sur le pla­teau comme une urgence à dire : "Stop Pauvreté ! Pour que vive en toute dignité l’Humanité !" Frédérique Arbouet, revue Lien social.

Poussières de paix

Israël-Palestine

Poussières de paix prend sa source dans le livre de Frédéric Laffont Israël-Palestine, 1001 jours, 1001 nuits (Arléa, 2002). 

Grand repor­ter et cinéaste, Frédéric Laffont a lon­gue­ment séjourné au Proche et au Moyen Orient. Les récits et témoi­gna­ges de son livre ont aussi servi de base à un docu­men­taire, Mille et un jours, sorti sur les écrans en 2004.
Nous fai­sons enten­dre ici la dou­leur de la terre et des mères meur­tries, les voix humi­liées ou étouffées par la peur, de toutes parts, mais aussi les voix de concorde et de paix des deux côtés - au-delà des bles­su­res vécues, au-delà du réel avec ses illu­sions et ses impas­ses, au-delà de la tra­gi­que loi du talion pour dire : "l’envie de vivre ici comme par­tout ailleurs".

Certains de ces récits sont poé­ti­ques, drôles, d’autres à pleu­rer, tous indé­nia­ble­ment émouvants et tou­jours joués avec bien­veillance, sans cari­ca­ture. Un appel à la tolé­rance, à la com­pré­hen­sion, afin que chacun puisse, à hau­teur de ses moyens, col­lec­ter ces pous­siè­res de paix.
Tommy Birambeau, Festi.TV-Avignon.

Voilà un spec­ta­cle qu’il faut aller voir, parce qu’il est très bon certes, mais aussi parce qu’il fait du bien. Le met­teur en scène et ses acteurs réus­sis­sent le tour de force de nous insuf­fler une rela­tive séré­nité à partir de la repré­sen­ta­tion d’un conflit cruel et qui per­dure. Alain Rozenkier, La Paix Maintenant (Shalom Arshav France)

Participation au Festival d'Avignon Off 2016

Teaser Théâtre forum "Grande pauvreté et réussite scolaire" présenté en mai 2018 à l’Espace 93 de Clichy-Sous-Bois

"Un Peuple les Yeux ouverts" - Extraits du spectacle représenté en octobre 2017 à la MPAA Saint Germain (Paris)

"Poussières de Paix - Israël Palestine, 1001 jours, 1001 nuits" - Extraits du spectacle présenté au Festival d’Avignon Off 2016


Adop­ter une pos­ture artis­ti­que et solidaire par des actions auprès de milieux dif­fé­rents par l’âge, l’envi­ron­ne­ment social et culturel, l’expé­rience théâ­trale, le parcours de vie... pour favo­ri­ser la croi­sée des routes et les che­mins de tra­verse.
 

Adop­ter une pos­ture artis­ti­que et solidaire par des actions auprès de milieux dif­fé­rents par l’âge, l’envi­ron­ne­ment social et culturel, l’expé­rience théâ­trale, le parcours de vie... pour favo­ri­ser la croi­sée des routes et les che­mins de tra­verse.

Un spec­ta­cle engagé pour dire non à l’exclu­sion !

Pour nous l’art théâ­tral est un art de la trans­mis­sion qui s’ins­crit dans le col­lec­tif pour cher­cher tou­jours les ouver­tu­res en soi avec et par les autres : l’art théâ­tral à pren­dre tout à la fois dans sa valeur de lien social et sa pra­ti­que à vertu éducative, dans sa dyna­mi­que de créa­tion col­lec­tive et sa force d’épanouissement per­son­nel.

 Pour nous l’art théâ­tral est un art de la trans­mis­sion qui s’ins­crit dans le col­lec­tif pour cher­cher tou­jours les ouver­tu­res en soi avec et par les autres : l’art théâ­tral à pren­dre tout à la fois dans sa valeur de lien social et sa pra­ti­que à vertu éducative, dans sa dyna­mi­que de créa­tion col­lec­tive et sa force d’épanouissement per­son­nel.

: l’art théâ­tral à pren­dre tout à la fois dans sa valeur de lien social et sa pra­ti­que à vertu éducative, dans sa dyna­mi­que de créa­tion col­lec­tive et sa force d’épanouissement per­son­nel.

Historique

 Le Théâtre de la Fugue a créé près de 40 spec­ta­cles depuis plus de 20 ans dans un souci per­ma­nent d’ouver­ture et de renou­vel­le­ment, et en s’atta­chant tou­jours à des textes forts de la tra­di­tion théâ­trale aussi bien que de la créa­tion contem­po­raine : les Tragiques grecs, Shakespeare, Diderot, Ionesco, mais aussi Büchner, Pirandello, Pasolini, ou encore Serge Valletti, Benjamin Galemiri, Henry Bauchau, Wajdi Mouawad, Carole Fréchette… 
Il s’est pro­duit dans de nom­breux Festivals : Avignon, Washington et Pennsylvanie (USA), Liège (Belgique), Paris (« Onze bouge », "Ici et Demain"…), Reims, Cabourg, Compiègne, Nanterre, Versailles, Orsay, Massy, Besançon, Lille, Montpellier…

Formations

Le Théâtre de la Fugue a mis en place un tra­vail de ter­rain socio-éducatif et artis­ti­que en milieu défa­vo­risé et avec des asso­cia­tions de soli­da­rité
Depuis 9 ans, il inter­vient auprès d’établissements sco­lai­res sen­si­bles de Villiers-le-Bel (95) par des actions ins­cri­tes dans la durée, et col­la­bore régu­liè­re­ment avec l’asso­cia­tion inter­na­tio­nale d’éducation Aide et Action.
Un par­te­na­riat continu s’est établi aussi depuis 2016 avec le mou­ve­ment ATD Quart Monde pour accom­pa­gner des grou­pes jeunes et adul­tes par le théâ­tre et favo­ri­ser l’accès de tous à la culture et à la créa­tion. 
La com­pa­gnie a pu col­la­bo­rer aussi ponc­tuel­le­ment avec dif­fé­ren­tes asso­cia­tions (Amnesty International France, Association Espace 19...).

Interventions

 Le Théâtre de la Fugue inter­vient régu­liè­re­ment en milieu sco­laire et uni­ver­si­taire, notam­ment aux Collège et lycée Charles Péguy (Paris 11ème), et sur les campus des uni­ver­si­tés UPMC (Paris 6), Paris Denis-Diderot (Paris 7) et Paris Descartes (Paris 5) pour des ate­liers et des spec­ta­cles en créa­tions col­lec­ti­ves.
Il a fait tra­vailler aussi en Avignon des étudiants amé­ri­cains dési­reux de s’ini­tier à l’his­toire et la pra­ti­que théâ­tra­les fran­çai­ses dans le cadre de l’Institut d’Etudes Françaises de l’Université amé­ri­caine Bryn Mawr College pen­ddif­fé­ren­tes struc­tu­res (ins­ti­tut uni­ver­si­taire, lycée…).
Le met­teur en scène de la com­pa­gnie est Chargé de Cours à l’Institut Catholique de Paris (ISFEC Lasalle-Mounier) en Master de Sciences Sociales sur "Le théâ­tre comme lan­gage de média­tion".

La compagnie 

Le Théâtre de la Fugue a cons­truit son iden­tité au croi­se­ment de dif­fé­rents pôles de créa­tions, de col­la­bo­ra­tions et d’enga­ge­ments. Toujours avec cette volonté : adop­ter une pos­ture artis­ti­que et éthique par des actions auprès de milieux dif­fé­rents – par l’envi­ron­ne­ment social, l’âge, l’expé­rience théâ­trale, l’offre cultu­relle… – pour favo­ri­ser la croi­sée des routes et les che­mins de tra­verse.

Le Théâtre de la Fugue a cons­truit son iden­tité au croi­se­ment de dif­fé­rents pôles de créa­tions, de col­la­bo­ra­tions et d’enga­ge­ments. Toujours avec cette volonté : adop­ter une pos­ture artis­ti­que et éthique par des actions auprès de milieux dif­fé­rents – par l’envi­ron­ne­ment social, l’âge, l’expé­rience théâ­trale, l’offre cultu­relle… – pour favo­ri­ser la croi­sée des routes et les che­mins de tra­verse.

 Pour nous l’art théâ­tral est un art de la trans­mis­sion qui s’ins­crit dans le col­lec­tif pour cher­cher tou­jours les ouver­tu­res en soi avec et par les autres : l’art théâ­tral à pren­dre tout à la fois dans sa valeur de lien social et sa pra­ti­que à vertu éducative, dans sa dyna­mi­que de créa­tion col­lec­tive et sa force d’épanouissement per­son­nel.

 Le Théâtre de la Fugue a créé de nombreux spectacles dans un souci per­ma­nent d’ouver­ture et de renou­vel­le­ment, et en s’atta­chant tou­jours à des textes forts de la tra­di­tion théâ­trale aussi bien que de la créa­tion contem­po­raine : les Tragiques grecs, Shakespeare, Diderot, Ionesco, mais aussi Büchner, Pirandello, Pasolini, ou encore Serge Valletti, Benjamin Galemiri, Henry Bauchau, Wajdi Mouawad, Carole Fréchette… 
Il s’est pro­duit dans de nom­breux Festivals : Avignon, Washington et Pennsylvanie (USA), Liège (Belgique), Paris (« Onze bouge », "Ici et Demain"…), Reims, Cabourg, Compiègne, Nanterre, Versailles, Orsay, Massy, Besançon, Lille, Montpellier…

 Le Théâtre de la Fugue a mis en place un tra­vail de ter­rain socio-éducatif et artis­ti­que en milieu défa­vo­risé et avec des asso­cia­tions de soli­da­rité, tout particulièrement avec Action-Education et ATD Quart Monde.

Il collabore avec La Possible Echappée, structure intervenant sur le champ du handicap mental et physique et est intervenu aussi auprès d’un public non-voyant et mal-voyant.

Le Théâtre de la Fugue pro­pose des for­ma­tions et inter­ven­tions de Théâtre Forum depuis 2015, et orga­nise notam­ment des for­ma­tions et des tour­nées dans dif­fé­ren­tes struc­tu­res asso­cia­ti­ves et de soli­da­rité.

 Le Théâtre de la Fugue inter­vient régu­liè­re­ment en milieu sco­laire et uni­ver­si­taire, notam­ment aux Collège et lycée Charles Péguy (Paris 11ème) pour des ateliers/spectacles, et à Sorbonne-Université pour des ateliers d’éloquence.

Il a fait tra­vailler aussi en Avignon des étudiants amé­ri­cains dési­reux de s’ini­tier à l’his­toire et la pra­ti­que théâ­tra­les fran­çai­ses dans le cadre de l’Institut d’Etudes Françaises de l’Université amé­ri­caine Bryn Mawr College pen­dant plus de 10 ans.

 Nous avons créé des outils, aussi bien théo­ri­ques que pra­ti­ques, pour aider ensei­gnants, asso­cia­tions, for­ma­teurs... dans la conduite d’ate­liers scolaires et dans la pra­ti­que théâ­trale comme média­tion.
Le met­teur en scène de la com­pa­gnie est Chargé de Cours à l’Institut Catholique de Paris (ISFEC Lasalle-Mounier) en Master de Sciences Sociales sur "Postures, compétences émotionnelles et interculturelles".

Le Théâtre de la Fugue, une quête tou­jours renou­ve­lée de pers­pec­ti­ves et de créa­tions, une recher­che atten­tive d’inters­ti­ces, de pas­sa­ges et de relais. 

CLAIR-OBSCUR
CREATION COLLECTIVE
ATD Quart Monde 

représenté à la MPAA Saint-Germain Paris 
en juin 2023
sera repris au Festival "C'est pas du luxe" 
à Avignon en septembre 2024

Dans une exposition sur les "invisibles de la société" les visiteurs déambulent et se laissent happer par les univers picturaux qu’ils se mettent à incarner, faisant surgir subitement des scènes de ces œuvres. Comme autant de personnes qui se révèlent ainsi à elles-mêmes et aux autres dans leurs solitudes, leurs peurs, leurs fêlures, leurs humiliations mais aussi leur envie d’être regardées, d’être enfin mises en lumière. 

Dramaturgie et mise en scène 
Philippe Osmalin
Collaboration artistique
Kathy Mepuis et Nancy Rusek 

Avec Samia Benaliouat, Marie-Françoise Feriaque, Christine Gonzales Geroudet, Stéphane Granado, Sonia Hamdaoui, Phuc Hoang, Marius Ilboudo, Pascal Lallement, Chantal Laureau, Manuella Lecanu, Balthazar Masingue, Annie Massol, Corinne Maucourant, Claudine Solvar, Anne Verdaguer

Chemins de traverse

Création sur les migrants représentée à la MPAA St-Germain/Paris en juin 2021 puis au Festival C'est pas du luxe à Avignon en septembre 2021.

Dramaturgie et mise en scène 
Philippe Osmalin
Collaboration his­to­ri­que 
Michèle Grenot 
Lumières 
Antonio de Carvalho 
Coordination et logis­ti­que 
Dynamique Jeunesse ATD

Avec 50 comé­diens

À la MPAA Saint Germain, 
Paris 6ème
13, 14 & 15 octo­bre 2017

Un peuple les yeux ouverts 

Un spec­ta­cle engagé pour dire non à l’exclu­sion !

Un peuple les yeux ouverts retrace un pan de la lutte contre l’exclu­sion à partir de Louis-Pierre Dufourny, l’un des pre­miers sous la Révolution Française à avoir pris la défense des droits des plus pau­vres, et de Joseph Wresinski, le fon­da­teur d’ATD Quart Monde. Par ce spec­ta­cle il s’agit de mon­trer les signes et les volon­tés de chan­ge­ment autant que les limi­tes, voire les impas­ses, du projet socio-poli­ti­que de la défense des exclus. Autour des figu­res de Dufourny et de Wresinski, gra­vi­tent des révo­lu­tion­nai­res et des gens du peuple, Victor Hugo cla­mant son indi­gna­tion en 1849, les habi­tants des bidon­vil­les en mai 68, les enfants d’une biblio­thè­que de rue, les mili­tants des Universités Populaires Quart Monde... Tout un peuple qui s’évertue à dire « non ! » à l’exclu­sion.

Une dra­ma­tur­gie fondée sur l’Histoire

La dra­ma­tur­gie repose sur des sour­ces et des textes issus des archi­ves his­to­ri­ques de la Révolution et d’ATD Quart Monde : la pièce retrans­crit des paro­les de révo­lu­tion­nai­res et de témoins de l’époque, tout autant que de Joseph Wresinski et de mem­bres du Mouvement. Il nous a paru essen­tiel d’être au plus près des événements réels pour en mon­trer la force, et per­met­tre le rap­pro­che­ment, par­fois inat­tendu, entre les époques et les acteurs de l’Histoire.
Avec Dufourny et son combat, on lève tout un pan inconnu de l’his­toire des exclus. À tra­vers l’enfance dif­fi­cile de Joseph Wresinski, on com­prend les raci­nes de sa volonté d’éradiquer la misère. En établissant des paral­lè­les entre 1789 et la nais­sance et le déve­lop­pe­ment d’ATD Quart Monde, on essaye de mettre en lumière une démar­che ins­crite dans le passé pour mieux enga­ger l’avenir.

Une démar­che col­la­bo­ra­tive

Le spec­ta­cle s’ins­crit dans cette pos­ture d’enga­ge­ment en ras­sem­blant un grand nombre d’acteurs : des grou­pes jeunes et adul­tes du Mouvement ATD Quart Monde (venant d’Ile de France, de Franche-Comté et de la région de Saint-Etienne), de jeunes comé­diens pro­fes­sion­nels et des enfants de Villiers-le-Bel, invi­tés grâce à ce projet à se ren­contrer, à créer ensem­ble dans un esprit col­la­bo­ra­tif.
Le théâ­tre est ici un moyen pour faire enten­dre toutes les voix, faire réson­ner les Droits de l’Homme, pour expri­mer les rêves et les espoirs d’un monde plus juste face aux défis du monde contem­po­rain.

Le spec­ta­cle se veut une pro­po­si­tion de relais pour porter une parole d’enga­ge­ment et d’empa­thie auprès de publics divers, au-delà des regards réduc­teurs der­rière les­quels on peut être trop sou­vent amené à se réfu­gier.

Dans ce spec­ta­cle choral, véri­ta­ble aven­ture humaine, où l’émotion, l’appré­hen­sion, le trac sont per­cep­ti­bles, la concen­tra­tion est affû­tée. (...) Une for­mi­da­ble énergie et une grande sin­cé­rité cir­cu­lent sur le pla­teau comme une urgence à dire : « Stop Pauvreté ! Pour que vive en toute dignité l’Humanité ! » Frédérique Arbouet dans la revue Lien social, novem­bre 2017.

 

Et voici un repor­tage effec­tué par le jour­nal L’Humanité lors d’une répé­ti­tion en sep­tem­bre : 
"Quand le Quart Monde se réap­pro­prie son his­toire"

 https://www.huma­nite.fr/videos/thea...

18
JUIN
2016

poussières de paix

Israël-Palestine

Poussières de paix prend sa source dans le livre de Frédéric Laffont Israël-Palestine, 1001 jours, 1001 nuits (Arléa, 2002). 

Grand repor­ter et cinéaste, Frédéric Laffont a lon­gue­ment séjourné au Proche et au Moyen Orient. Les récits/témoi­gna­ges de son livre ont aussi servi de base à un docu­men­taire, Mille et un jours, qu’il a réa­lisé en 2003 et qui est sorti sur les écrans en 2004.
Nous fai­sons enten­dre ici la dou­leur de la terre et des mères meur­tries, les voix humi­liées ou étouffées par la peur, de toutes parts, mais aussi les voix de concorde et de paix des deux côtés au-delà des bles­su­res vécues, au-delà du réel avec ses illu­sions et ses impas­ses, au-delà de la tra­gi­que loi du talion : "l’envie de vivre ici comme par­tout ailleurs".

15-16-17
octobre
2017

Un peuple les yeux ouverts 

en partenariat avec ATD Quart monde

Un spec­ta­cle engagé pour dire non à l’exclu­sion !

Un peuple les yeux ouverts retrace un pan de la lutte contre l’exclu­sion à partir de Louis-Pierre Dufourny, l’un des pre­miers sous la Révolution Française à avoir pris la défense des droits des plus pau­vres, et de Joseph Wresinski, le fon­da­teur d’ATD Quart Monde. Par ce spec­ta­cle il s’agit de mon­trer les signes et les volon­tés de chan­ge­ment autant que les limi­tes, voire les impas­ses, du projet socio-poli­ti­que de la défense des exclus. Autour des figu­res de Dufourny et de Wresinski, gra­vi­tent des révo­lu­tion­nai­res et des gens du peuple, Victor Hugo cla­mant son indi­gna­tion en 1849, les habi­tants des bidon­vil­les en mai 68, les enfants d’une biblio­thè­que de rue, les mili­tants des Universités Populaires Quart Monde... Tout un peuple qui s’évertue à dire « non ! » à l’exclu­sion.

L'équipe

Philippe Osmalin
Metteur en scène
Comédien - Formateur

Philippe Osmalin s’est cons­truit au croi­se­ment des routes et a tou­jours favo­risé les che­mins de tra­verse.
Il fonde en 1993 la com­pa­gnie du Théâtre de la Fugue avec Sylvie Harland.
Il a été formé à la mise en scène et à la dra­ma­tur­gie à Stanford University (USA), et à l’art du comé­dien au « Théâtre-Ecole » de Pantin, ainsi qu’en stages pro­fes­sion­nels : Actor’s Studio (San Francisco), « La théâ­tra­lité du corps et sa péda­go­gie » (le Théâtre du Mouvement), Formation de clown (Royal’ Clown Company, Montreuil). 
Il a le Diplôme d’Etat d’Enseignement du Théâtre (Ministère de la Culture).

Il a aussi une for­ma­tion en Sciences Sociales (Master 2 de "Management en Action éducative inter­na­tio­nale, Médiation sociale et Interculturalité", ISFEC Lasalle-Mounier / ICP) et mène un tra­vail de recher­che sur les pra­ti­ques théâ­tra­les comme levier socio-éducatif. 
Il s’est d’abord formé aux Lettres et Sciences Humaines (DEA en "Sémiologie du texte et de l’image") et a ensei­gné les Lettres Classiques et la Philosophie, ainsi que l’Option Théâtre.

Actuellement il est Intervenant et for­ma­teur auprès de nom­breu­ses struc­tu­res asso­cia­ti­ves et éducatives, et Chargé d’ensei­gne­ment en Master à l’ISFEC Lasalle-Mounier (Institut Catholique de Paris).

René Bresson
Président 
de l’association

René Bresson est fami­lier et expert des espa­ces urbains. Généraliste de l’habi­tat, il exerce depuis 15 ans une acti­vité de consul­tant dans les domai­nes de l’archi­tec­ture, de l’urba­nisme et de la copro­priété, après 15 ans d’exer­cice du métier d’archi­tecte et 5 ans dans la maî­trise d’ouvrage.

Parallèlement, il s’est consa­cré au déve­lop­pe­ment d’asso­cia­tions dont il a assuré la pré­si­dence : une crèche paren­tale en Bretagne, et 4 asso­cia­tions cultu­rel­les per­met­tant à des jeunes artis­tes d’orga­ni­ser des spec­ta­cles théâ­traux ou des concerts.

Président de l’Association Théâtre de la Fugue depuis 1998, il accom­pa­gne ses pro­jets en appor­tant son expé­rience de la poli­ti­que de la ville et de la ges­tion, motivé par son vif inté­rêt pour le théâ­tre et la péda­go­gie.

Sylvie Harland
Comédienne, 
conteuse

Sylvie Harland porte les his­toi­res en elles depuis tou­jours. Les lire, les enten­dre, les raconter, les jouer... Très vite elle a suivi une for­ma­tion de comé­dienne dans dif­fé­rents cadres et c’est au Théâtre-Ecole de Pantin sous la direc­tion de Ghislaine Dumont qu’elle a déve­loppé son art, où elle a notam­ment joué La Folle de Chaillot.

Elle fonde la com­pa­gnie du Théâtre de la Fugue avec Philippe Osmalin, et y tient de nom­breux rôles chez des auteurs aussi divers que Tchékhov, Garcia Lorca, Diderot, Ionesco, Büchner, Agota Kristof… Son mono­lo­gue Mary’s à minuit de Serge Valletti a été créé dans les bars, puis a été joué au fes­ti­val d’Avignon Off, et a fait l’objet d’une tour­née aux Etats-Unis en 2003.
Elle a aussi incarné le per­son­nage de Pas moi dans le spec­ta­cle Pas moi- Pas de Beckett, mis en scène par Ghislaine Dumont, qui a été créé au fes­ti­val d’Avignon Off en 2000 et y a été repris en 2010, puis a tourné dans dif­fé­rents théâ­tres en France.
Elle a joué récem­ment dans le spec­ta­cle Poussières de paix, repré­senté à Paris et au Festival Avignon OFF 2016.

Parallèlement, elle s’est formée à l’art du conte durant 3 ans dans l’ate­lier d’Henri Gougaud et a suivi dif­fé­rents stages avec Catherine Zarcate.
Elle a, à sa dis­po­si­tion, un réper­toire de tours de contes. Contes d’Ombre et de Lumière est sa der­nière créa­tion, qui a été repré­sen­tée au Six-Elsévir à Paris.

Elle anime des ate­liers de théâ­tre au col­lège-lycée Charles Péguy depuis 1996. Elle inter­vient aussi dans des écoles, col­lè­ges et struc­tu­res cultu­rel­les où elle pro­duit ses tours de contes.

François Prioli
Comédien et Assistant 
à la mise en scène

Attiré par le théâ­tre et pas­sionné de cinéma depuis son ado­les­cence, François fait ses pre­miers pas sur scène en 2009 dans un ate­lier théâ­tral au Centre cultu­rel Dunois (Paris 13e). 
Puis il intè­gre en 2010 les ate­liers uni­ver­si­tai­res du Théâtre de La Fugue, et la com­pa­gnie en 2014.
Il prend part alors à dif­fé­rents spec­ta­cles (Shakespeare, Mouawad, Fréchette, Eschyle - spec­ta­cle pour lequel il a eu une nomi­na­tion d’inter­pré­ta­tion mas­cu­line au Festival de Reims pour son rôle d’Agamemnon).

Parallèlement il a mené un cursus uni­ver­si­taire et est diplômé d’un Master en Lettres Modernes. 
Souhaitant com­plé­ter sa for­ma­tion, il a inté­gré l’école Acting International en 2014 dont il est diplômé depuis 2017.

Il a joué dans Poussières de paix, repré­senté à Paris et au Festival Avignon OFF 2016, et dans Un peuple les yeux ouverts, dont il a été aussi l’assis­tant à la mise en scène. Il a également joué dans une mise en scène de La Descente d’Orphée de Tennessee Williams et pré­pare actuel­le­ment un rôle dans une mise en scène de L’Otage de Paul Claudel.

Il s’est en outre initié au Théâtre Forum avec le Théâtre de la Fugue et a par­ti­cipé à l’action sur les Droits de l’Enfant à l’atten­tion de l’asso­cia­tion Aide et Action (sep­tem­bre 2015). Et tout der­niè­re­ment il a par­ti­cipé à deux pro­jets de Théâtre Forum : "Grande pau­vreté et réus­site sco­laire", et Il est où le patron ? (sur les femmes pay­san­nes en Ile de France).

Côté cinéma, François a également par­ti­cipé en 2018 aux courts-métra­ges Je suis Richard III (sélec­tionné au Short Film Corner du Festival de Cannes édition 2018) et Lovescape.

Nous avons besoin de votre consentement pour charger les traductions

Nous utilisons un service tiers pour traduire le contenu du site web qui peut collecter des données sur votre activité. Veuillez consulter les détails dans la politique de confidentialité et accepter le service pour voir les traductions.